KHEYRAN SKYLER REYNOLDS

ft. andrew garfield

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Bonjour, bonsoir Boston ! Moi, c'est Kheyran Skyler Reynolds cependant la moitié de mes amis me surnomme surnom(s). Je suis né(e) le 08 mai 1986 ce qui me donne - si vous êtes brillants - 26 ans et je viens de Nice, en France. Je suis de nationalité française et américaine et je suis fier(ère) de mes origines - ou pas - américaines, canadiennes et françaises. En ce moment, je suis journaliste depuis quelques années. Je suis actuellement célibataire et je viens d'un rang moyen. Cela fait maintenant 24 ans et je me plaît beaucoup ici. J'aimerais énormément faire partie du groupe Hometown Glory.

anything else to say ? we wanna know.

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Kheyran est un jeune homme comme tous les autres, ou presque. Il a eu sa période turbulente où il ne cherchait que le conflit, au grand malheur de son entourage. Or, vers la vingtaine, il s’est calmé. Aujourd’hui, il est une personne relativement calme, qui aime profiter de la vie, quelle qu’elle soit, même si cela n’est pas toujours rose. Il sait qu’il n’est pas parfait, loin de là même et pourtant, il veut éviter d’être une mauvaise personne. C’est pourquoi il aime aider les autres, sa famille avant tout. Souvent les mains dans les poches, Kheyran ne sait pas se défaire de son sourire. C’est en quelques sortes sa marque de fabrique. Plutôt déconneur et parfois grande gueule, c’est aussi un mec extrêmement bordélique. Attention à ceux qui s’aventurent dans son appartement. Le rangement n’est pas vraiment sa priorité, il préfère travailler. Par contre, loin de lui les jeux vidéos. Adolescent, il adorait ça mais désormais, il s’en fout. Il lui arrive néanmoins de jouer à Fifa sur sa PS3 même s’il l’utilise plus pour se regarder quelques films. Il a tendance à se passer une main dans les cheveux lorsqu'il est nerveux. Un petit rire accompagne toujours ce geste. Le matin, il ne peut pas se passer de son café ou il est d'une humeur exécrable. Kheyran est quelqu'un de très ponctuel, plutôt du genre à être en avance qu'en retard. Il a aussi souvent tendance à se passer la langue sur ses lèvres. C'est un tic qu'il a depuis toujours.

Spoiler:

I – « CHAPETER ONE »
Par une matinée plus qu’ensoleillée dans la ville de Nice, sur la Cote d’Azur, tout semblait sourire à un jeune couple. En ce jour du huit mai mille neuf centre vingt six, la jeune femme de vingt quatre ou vingt cinq ans avait troqué ses jupettes courtes aux couleurs et aux motifs flashy pour enfiler une robe bien plus ample mais tout aussi colorée. Un léger sourire était scotché sur ses lèvres maquillée d’un rouge clair et légèrement glosées. Ses yeux bleus turquoises maquillés d’un trait de crayon étaient tournés vers ceux de son compagnon. Dans sa petite main toute menue, elle tenait fermement celle du jeune homme. Tout semblait être parfait et pourtant, au fond d’elle, la jeune femme paniquait totalement. Sa seconde main était posée sur son ventre bien rebondit. Elle y jeta un coup d’œil avant de se retourner vers l’homme dont elle était folle amoureux. Sa main se resserra un peu plus sur celle de l’homme qui était bien plus âgé qu’elle. Il devait avoir dans les trente cinq ans. Or, cela les importait peu. Elle se dressa sur la pointe des pieds, prête à déposer un baiser furtif sur les lèvres de son compagnon lorsqu’un cri lui échappa. Elle lâcha sa main et se retrouva pliée en deux par la douleur. Elle sentait un liquide humide couler sur elle et elle releva ses yeux paniqués. « Le bébé arrive ! » Tous deux se mirent à marcher le plus vite possible en direction de l’hôpital. Une chance qu’il en fut pas loin. Ils entrèrent et rapidement, la jeune femme fut prise en charge par des sages femmes et autres infirmières. Le travail pu commencer lorsqu’elle franchit la salle d’accouchement. Quelques heures plus tard, une ou deux, elle donna la vie à un petit garçon. Ce dernier respirant sa première bouffée d’oxygène se mit à pleurer. Ses pleurs furent mêlés à ceux de sa mère, folle de joie.

II – « CHAPTER TWO »
Quelques années plus tard, deux à tout casser, le couple, accompagné de leur unique fils, firent un voyage en direction de Boston qui leur couta la vie. Malheureusement, seul le petit garçon s’en sorti avec plusieurs blessures. Certaines étaient plus grave que d’autres. Il fut placé sous respirateur dans un hôpital de Boston pendant plusieurs semaines. Ses parents n’étaient pas à son chevet. Il fut seul quelques jours avant que as tante, la sœur de sa mère, n’arrive pour prendre soin du petit garçon. A seulement deux ans et quelques mois, le petit Reynolds était qualifié comme d’un miraculé. Le voyage en avion de Nice à Boston s’était parfaitement bien déroulé. Cependant, la seconde partie du voyage, en taxi, ne se déroula pas comme prévu. Le chauffeur, ivre dès quatorze heures, n’avait pas respecté un simple stop. Une simple erreur et une inattention coutèrent la vie de trois personnes sur quatre. Dès cet instant là, il avait été plus ou moins prévu que ce soit la sœur ainée de madame Reynolds qui prenne soin de son fils. C’est ce qui se produisit. Lorsque Kheyran sorti de son coma, il ne comprit pas de suite ce qu’on lui racontait. Ses parents ne pouvaient pas être montés au ciel sans lui. Il n’y croyait pas et ne cessait d’appeler sa mère. Les pleurs de l’enfants étaient déchirants et pourtant, sa tante se devait d’être forte pour lui. Elle resta jours et nuits auprès de lui, à le consoler et à le tenir dans ses bras.

III – « CHAPTER THREE »
Les années continuaient de passer dans la ville de Boston comme dans le reste du monde. Petit à petit, Kheyran grandit, se faisant à l’idée qu’il ne reverrait jamais ses parents. Cela fut difficile pour lui ainsi que pour sa tante et son oncle chez qui il vivait. Il les considérait un peu comme ses parents et eux voyaient en lui un fils magnifique qu’ils aimaient tant. Cependant, les choses changèrent un peu lorsque sa tante, May, apprit qu’elle était enceinte de son première enfant. A ce moment là, Kheyran allait fêter ses sept ans. Au fond de lui, il espérait avoir une petite cousine. Il voulait d’elle comme d’une sœur. Neuf mois plus tard, son micro rêve se réalisa et une fillette fit son apparition. A nouveau, les choses changèrent. Son oncle et sa tante n’étaient plus autant présents pour lui. Leur attention allait se porter le plus clair de leur temps sur le nouveau né. Le petit garçon fut comme mit de coté même s’il avait certaines attentions pour lui seul. Rien n’était plus pareil. A l’école, il commença à se renfermer et à être plus distant envers ses autres camarades de classe. Il ne voulait rien entendre.

IV – « CHAPTER FOUR »
L’adolescence arriva rapidement et les problèmes avec. Kheyran devenait totalement incontrôlable, donnant du fil à retordre à son oncle te sa tante. Quant à sa cousine, il ne lui parlait presque plus. A dire vrai, le jeune homme passait ses journées à trainer avec les mauvaises personnes et à passer ses nuits dans la rue. Pour se faire plus discret, il passait bien souvent par le toit et redescendait sans aucun bruit. Cela marchait à tous les coups. Il profitait de ces soirées clandestines pour retrouver ses mauvaises fréquentations. Il se mit à fumer, plus que ce qu’il n’aurait dut et à boire de temps à autres sans qu’il ne tombe véritablement la dedans. En cours, il aimait faire n’importe quoi. C’est bien simple, il passait pas mal de temps dans le bureau du proviseur qui en devenait fou. Le pire élève qu’il n’eut jamais vu. Ceci amusait le jeune Reynolds. Il fut impliqué dans plusieurs bagarres dans le lycée. Il fut également interpellé à deux ou trois reprises. Ce fut son oncle qui, à chaque fois, venait le chercher au poste de police. Jamais un merci de la part de Kheyran. Sa tante ne cessait de répéter que ce n’était qu’une mauvaise passe, que la mort de ses deux parents le bouleversait, qu’il s’en rendait réellement compte maintenant. Il y avait du vrai mais Khey ne faisait rien pour arranger les choses, au contraire. Cette situation continua jusqu’à son entrée en fac de journalisme. Son oncle et sa tante décidèrent qu’il était bon pour lui qu’il s’éloigne de Boston. Ainsi, il parti à Nice, en France, sa ville natale, pour faire ses études.

V – « CHAPTER FIVE »
Vers ses vingt quatre ans, le jeune Reynolds décida qu’il serait mieux s’il revenait à Boston. Les six ans qu’il avait passé en France l’avaient totalement métamorphosé. Il avait laissé son passé désastreux derrière lui et s’était fait une nouvelle vie. Et pourtant, il avait senti ce besoin de retourner auprès de sa famille. Il s’en voulait tellement de leur avoir fait subir tout cela. Loin de lui les bagarres, les cigarettes. Cependant, Kheyran n’aurait pas eu la volonté s’il avait été seul. Ce fut avec l’aide d’une fille, une niçoise, qu’il y arriva. Il resta environ cinq ans avec elle avant de la quitter contre son gré pour retourner à Boston. La bas, il trouva un journal qui accepta de l’engager en tant que journaliste, il se trouva un petit appartement dont le loyer n’était pas trop élevé et décida de renouer les liens avec sa cousine. Ce fut difficile mais il y parvint. Il en fit de même avec son oncle. Sa tante n’avait pu lui en vouloir. Elle l’aimait bien trop.