Bonjour, bonsoir Boston ! Moi, c'est Wayne Lou Perkinson cependant la moitié de mes amis me surnomme Way. Je suis née le 5 mai 1987 ce qui me donne - si vous êtes brillants - 24 ans et je viens de Cleveland en Ohio. Je suis de nationalité américaine et je suis fière de mes origines - ou pas - irlandaises. En ce moment, je travaille comme Agente de la CIA, mais photographe en couverture et maman à temps plein. Cela fait maintenant six ans et je me plaît beaucoup ici. On me dit souvent que je ressemble à Dianna Agron, mais ils sont aveugles ceux qui disent des bêtises comme ça. J'aimerais énormément faire partie du groupe Second Chance.

❧ TELL ME MORE ABOUT YOU.

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Elle n'a aucun talent en cuisine ✿ Elle est très maternelle ✿ Elle adore sa fille Winnie ✿ Elle ne parle plus à ses parents ✿ Elle a toujours été très mature pour son âge ✿ Elle mange sans gêne le chocolat dans les pots de Nutella à la cuillère ✿ Elle fait du jogging chaque matin ✿ Elle aime avoir raison ✿ Elle adore voyager ✿ Elle chante et danse lorsqu'elle fait le ménage ✿ Elle est une excellente menteuse ✿ Elle ne croît plus à l'amour ✿ Elle vit dans un grand appartement avec sa fille ✿ Elle est très loyale envers ces amies ✿ Elle ne l'avouera jamais, mais adolescente elle a déjà été attirée par les femmes ✿ Elle aurait aimer faire un autre job ✿ Elle a un côté masculin ✿ Elle porte souvent des talons hauts ✿ Elle sait se servir d'un arme à feu ✿ Elle ne s'approche jamais des placards ✿ Elle est claustrophobe ✿ Elle a constamment peur de perdre son enfant ✿ Elle est vulgaire ✿ Elle adore la musique ✿ Elle jouait du piano au lycée.

Spoiler:

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« Wayne arrête ton père doit partir » déclara-t-elle en l'attrapant par la main pour me retenir afin qu'elle ne retourne pas courir une nouvelle fois dans les bras de son père qui partait pour une mission. D'un geste de main brutal, elle se dégagea sa main de celle de sa mère et s'approcha en courant de son père qui enfilait son veston. « Papa, je t'en supplie reste avec nous » supplia-t-elle en s'accrochant à lui alors que les larmes montaient rapidement à ses yeux. Âgée de huit ans, elle suppliait son père de ne pas laisser sa famille une fois de plus en deux ans et ce, même si s'était pour une bonne cause. Ce n'est que lorsque son père referma à son tour ses bras autour de son corps frêle que les larmes commencèrent à couleur ses joues alors qu'elle fermait les yeux pour ne plus voir les bagages de son père devant elle. Un temps fou s'écroula avant qu'elle ne réalise que plupart son père la repousse pour mieux regarder sa petite Wayne adorée. « Papa va bientôt revenir » déclara-t-il en caressant les doux cheveux blonds de sa petite fille et en l'embrassant sur le front. « Tu me promets papa ? » questionna Wayne en retenant sa main droite et sourire de façon triste. Ludmilla, sa mère, s'approcha une nouvelle fois, s'accroupit et embrassa son époux comme ci s'était la dernière fois qu'elle le voyait de sa vie. « Je le promets ma chérie » répondit-il en l'embrassant une nouvelle fois et quitter la maison. Se levant rapidement, Wayne sorti dehors : « Papa attends » S'approchant, elle lui tendit un pendentif : « Comme ça, on sera toujours avec toi » expliqua-t-elle en tournant les talons et en rentrant dans la maison pour regarder le véhicule partir au loin. C'était un mensonge, c'était un mensonge de plus dans la vie de la petite Wayne.

Toc. Toc. Deux coups qui retentissaient sur la porte d'entrée ce qui fit faire un sursaut à la mère de Wayne qui n'était pas du tout habituée à ce que qu'une personne lui rend visite en plein après-midi. Ouvrant la porte, elle s'attendait à voir une personne de son entourage ou de son voisinage, mais elle se trompait entièrement. Effectivement, elle eut la surprise de sa vie lorsqu'elle remarqua que l'homme derrière la porte portait un uniforme militaire. Déboulant les escaliers, une tête blonde arriva en courant derrière sa main pour lui prendre la main et se cacher un peu derrière sa jambe droite : « C'est qui maman ? » demanda-t-elle d'un coup en levant la tête afin de mieux regarder le visage de sa mère qui était de marbre. Sa mère comprenait absolument tout alors en deux-trois mouvements, elle alla dans le salon déposer Wayne sur le divan et lui dire de rester là. Mais têtue de nature, la blondinette se leva pour aller ce poster derrière le mur : « Toutes nos condoléances Madame Perkinson, mais votre mari est décédé dans un attentat » prononça le Caporal-chef d'une voix monotone. Il remit une lettre à la mère de Wayne qui après avoir refermée la porte s'effondra sur le sol en pleurs. Mais pour Wayne, rien ne comptait plus désormais.

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Une respiration. Elle connaissait cette respiration par coeur, elle savait que s'était sa petite sœur Amethyst qui hésitait derrière la porte. Elle hésitait à entrer dans la chambre de sa grande sœur Wayne parce qu'elle ignorait comment sa propre sœur le prendrait considérant le fait que Wayne était du genre très imprévisible. On ne pouvait pas vraiment cerner Wayne, elle était du genre à changer d'humeur en quelques secondes. Secouant la tête, elle lâcha son crayon et soupira - « Entre bordel, arrête de glander devant ma porte Amey » cria-t-elle à celle-ci en reprenant son crayon pour recommencer ses devoirs. Wayne est l'unique personne qui s'autorisait à surnommer Amethyst, Amey. Une petite blondinette entra dans la chambre de Wayne pour ensuite se positionner devant la porte après l'avoir refermé. « Je peux te poser une question Wayne » demanda l'autre blonde en posant sur Wayne un regard triste. « Tu viens de le faire Amey » répondit-elle d'un ton sarcastique en regardant sa sœur dans les yeux. « Mais vas-y, tu peux poser ta question » continua-t-elle en lançant un sourire encourageant à sa petite soeur après avoir remarqué à quel point Amey ne souriait pas à sa stupidité. Ce qui envisageait une discussion sérieuse, discussion que Wayne ne s'attendait aucunement. La première chose que l'aînée Perkison fit fût de repousser le cahier grand ouvert devant elle, de s'asseoir en indien et de faire un signe de main à Amethyst qui disait de s'approcher un peu plus. L'autre blonde s'approcha doucement en jouant nerveusement avec ses mains pour ainsi prendre place près de Wayne qui attendait. « Tu peux y aller Amey, tu peux me dire n'importe quoi » dit-elle à celle-ci pour l'encourager à continuer. Amethyst hocha la tête en guise de réponse pour mieux recommencer à ce tortiller les doigts. « Wayne, je me demandais est-ce que tu connaissais notre père ? » Tout le visage entier de Wayne se crispa aux quatre lettres que formaient le mot « père » pour la simple et bonne raison qu'elle n'arrivait jamais à placer deux mots lorsque cela concernait le sujet « papa ». Une colère s'empara de Wayne alors qu'elle fronçait les sourcils en regardant Amethyst d'un regard haineux. « Je n'ai pas envie de parler de papa, Amey » dit-elle tout simplement en se levant de son lit. « Wayne tu ne peux pas toujours éviter ses questions » dit simplement Amethyst en se levant pour s'approcher de Wayne alors que celle-ci reculait. « Fous-le camp de ma chambre » répondit-elle simplement en croisant ses bras sur sa poitrine. « JE T'AI DIT DE FOUTRE LE CAMP, VA-T-EN » cria-t-elle à Amethyst. On pouvait lire la peur sur le visage d'Amethyst alors qu'elle se pressait à sortir de la chambre de Wayne.

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« Tu es aveugle ma pauvre. Il ne t'aime pas et il ne t'aimera jamais » cria-t-elle à sa mère en fronçant les sourcils. Elle avait les larmes aux yeux, mais c'était le dernier de ses soucis en cet instant. Wayne se rendait compte de la scène qu'elle était en train de faire, mais après deux ans à garder tout ce qu'elle pensait vraiment elle avait finalement explosé cette journée-là. Spécialement en voyant que sa petite soeur était avec l'homme qu'elle avait longtemps considéré comme l'homme de sa vie et que sa mère jouait l'innocente devant son nouvel époux des deux dernières années. Furieuse, elle frappa la table de son poing du plus fort qu'elle était capable, mais Wayne avait une telle rage à l'intérieur qu'elle que lorsque son poing atterri sur la table, elle fût la plus surprise des quatre de la force qu'elle venait de cogner sur la table. Amethyst, sa soeur, avait sursauté lorsque le poing de Wayne avait touché le contact de la table. Aidan se leva rapidement et s'approcha de la blondinette doucement et lentement peut-être dans le bus de ne pas la froisser davantage. « Calme-toi Wayne » dit-il tout simplement en empoignant son avant-bras et en la forçant à le regarder dans les yeux. « Inspire profondément, calme-toi » ajouta-t-il quelques instants plus tard. Fronçant les sourcils, elle lorgna un regard vers Amethyst, sa mère et le nouveau mari de sa mère John pour ensuite revenir vers les yeux de Aidan. Brusquement, elle dégagea son bras de sa main et recula de quelques pas - « Je ne me calmerais pas, mais je fous le camp d'ici » répondit-elle brusquement en prenant la direction de sa chambre, mais au dernier moment elle recula pour se planter devant Amethyst. « J'ai été amoureuse de Aidan, je croyais qu'il était amoureux de moi, mais je me suis trompée parce qu'il t'aime toi et je respecte ce choix. Mais maman est une menteuse, papa est mort à la Guerre » déclara-t-elle en regardant sa petite soeur dans les yeux et essuyer la larme qui coulait sur la joue de sa soeur. Elle la prit dans ses bras : « Je suis désolée, mais c'est la dernière fois que je t'adresse la parole Amey » murmura-t-elle à son oreille pour se décoller et disparaître.

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Inspirant profondément, elle regarda une dernière fois la valise grande ouverte sur son lit. Wayne baissa la tête en soupirant, mais elle releva la tête en réalisant que c'était sans doute pour son bien si elle quittait pour de bon Cleveland son pays natal pour disparaître entièrement de la vie de sa famille. Depuis deux ans, elle ne leur adressait plus la parole et elle ne regrettait aucunes paroles qu'elle avait prononcée durant le souper où la vérité était enfin sortie du placard. Non loin de là, la blondinette se sentait bien et libre comme-ci elle était devenue une nouvelle femme. Secouant la tête en rigolant légèrement, elle s'approcha un peu plus de sa commode, empoigna tout ce qui s'y trouvait et le fourra sans même prendre le temps de le plier dans la valise. Elle pensait tout faire sans se faire déranger, mais elle se trompait. Fermant sa valise, on cogna à la porte de l'endroit où elle logeait depuis deux ans, surprise elle s'approcha tout doucement de cette porte étant certaine qu'elle n'avait pas dit à personne où elle vivait. Brusquement, elle entrouvrit la porte pour découvrir un homme derrière celle-ci et un homme qu'elle connaissait plutôt bien. De suite, elle fronça les sourcils en réalisant que s'était le fiancé de Amethyst. « Tu fous quoi ici ? » demanda-t-elle froidement alors qu'il se retournait. D'un signe de main, il pointa son appartement alors, qu'elle secouait la tête de façon négative. Rigolant, il pencha la tête en avant pour la relever quelque instant plus tard. « Ne quitte pas Cleveland Wayne » déclara-t-il simplement en s'approchant d'elle pour pousser la porte et entrer dans l'appartement de la blondinette. Furieuse, elle referma la porte dans un claquement pour rapidement s'approcher de sa valise installée sur son lit. « Fous-le camp Aidan, je quitte Cleveland quand je le veux » C'était les seules paroles qu'elle avait trouvé à dire sans que la colère qu'elle ressentait paraisse. « D'accord, mais tu as pensé à Amethyst, à ta mère et à moi ? » La blondinette éclata de rire devant des paroles aussi stupides. « J'ai arrêté de m'inquiéter de vos petites personnes il y a deux ans Aidan, alors non je n'ai pas pensé » répondit-elle dans un sourire sarcastique adressé à Aidan. Celui-ci rigola une nouvelle fois, tourna les talons et ouvrit la porte - « Je suis désolé Wayne, je t'aimais vraiment, mais on se ressemblait trop » prononça-t-il dans un murmure alors que la blondinette s'approchait de celui-ci. Elle l'empoigna par la veste, le tira pour le faire entrer dans la pièce. « Garde tes foutus paroles en l'air pour d'autres connes que moi Aidan » cria-t-elle à celui-ci en le giflant de toutes ses forces. Brusquement, celui-ci l'empoigna par les poignets et l'embrassa. Un baiser d'Adieu qui n'en fut pas un.

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Ce qu'on redoute le plus, eh oui vous êtes rendus à faire votre histoire qui se fera sous la forme que vous désirez, nous on se fout que ce soit en rp, journal intime, anecdote ou dialogue tout ce qu'on veut c'est qu'elle est trente lignes minimum et un bon ortographe. Pour ceci, il existe bon patron ou word.